07 mars 20 – De Barcelone à la Roca del Vallès – 40 km (10352 km) – J339
De nouveau, il n’est pas évident de se lever. Surtout pour les enfants… Les parents mangent du pain perdu pour le petit-déjeuner, les enfants, environ une heure plus tard, des Chocapic…
Nous sommes vite prêts, mais il faut encore passer au supermarché (mission de Papa). Nous récupérons ensuite les vélos (quel chance d’avoir pu les laisser dans les locaux de Jordi). Tout est chargé, il est 11h00.
Il nous faut tout d’abord traverser Barcelone… C’est long… Mais il y a quasiment des pistes cyclables tout le temps, c’est déjà ça.
Au bout de 13 kilomètres, nous rejoignons le bord d’une rivière. Tout est plus calme, terminée la grande ville. Nous en profitons d’ailleurs pour prendre le déjeuner.
Grâce à Maps.me et OsmAnd, nous trouvons une route pour passer à vélo. Elle n’est pas très fréquentée et est plutôt agréable. Pour ce qui est des paysages, nous avons déjà eu mieux mais ne nous plaignons pas. En Amérique du Sud, tout était plus simple, il n’y avait généralement qu’une route, nous n’avions pas beaucoup le choix !
Tout est soit urbanisé, soit cultivé. Bivouaquer ne va pas être très simple… Nous faisons une pause à la Roca pour prendre de l’eau. Tous les robinets sont fermés, impossible d’avoir une goutte d’eau. C’est au terrain de football que nous trouvons notre bonheur. Nous demandons où camper, le gardien nous indique un parc à la sortie de la ville. Ça devrait le faire. En attendant, les enfants profitent des jeux !
Nous filons vers le parc. Il y a des jeux, ce sera parfait ! Par contre, il est 17h00 et il y a encore beaucoup de monde. Nous décidons donc d’attendre le début de la nuit pour monter la tente. Comme d’habitude, Martin et Lucas jouent ! Maman les accompagne.
Il ne fait pas chaud avec le vent… Maman a un coup de barre (c’est fréquent en ce moment). Elle fait une petite sieste.
La vue n’est pas mal mais nous sommes quand même vraiment visibles. Il y a un coin plus caché un peu plus loin mais ce sera sûrement plus humide. Nous décidons de rester là.
Nous prenons le dîner un peu avant 19h00 puis montons la tente. Il fait un froid de canard avec le vent ! Il va falloir nous y habituer ! Tous les jeunes sont partis, il n’y a plus personne. Il est à peine 21h00 mais nous tombons comme des masses !