28 février 20 – De Colonia à Buenos Aires – 8 km (10293 km) – 51 km en bateau – J331
Nous n’avons rien senti cette nuit mais au réveil, nous voyons des puces… Grosse déprime… Nous finissons la bombe (c’est la troisième en fait) et plions tout. Lucas s’est de nouveau bien fait piquer mais pas Martin. Elles ne vont quand même pas nous gâcher la fin du voyage ?!
Nous faisons une photo souvenir avec nos voisins italiens et partons tous ensemble pour l’embarcadère. Nous prenons tous le bateau ce matin mais pas avec la même compagnie. En chemin, nous faisons un arrêt au supermarché pour acheter de quoi prendre le petit-déjeuner.
Nous passons le check-in et l’immigration. Andrea a un retour d’un contact qui fait des transferts pour l’aéroport à Buenos Aires. Le conducteur est disponible pour nous. Super ! C’est toujours ça que nous n’aurons pas à chercher !
Nous nous disons à bientôt et embarquons. Comme à l’aller, la traversée est rapide. De l’autre côté nous partons vers un parc pour continuer de pschitter nos affaires. En chemin, le câble du dérailleur arrière de Papa lâche. Il aura tenu juste assez longtemps. Du coup, en plus du pschit, il y a un atelier réparation dans le parc. Pendant ce temps, les enfants jouent et mangent des chips.
Nos missions terminées, nous allons manger au fast-food et allons à l’appartement. Marta n’était pas disponible avant. Presque arrivés, nous tombons sur une laverie. Nous leur amènerons tout notre linge ce soir.
Nous nous installons, préparons le linge, pschittons l’appartement. Nous devenons complètement paranos mais nous voyons une puce, alors nous redoublons de vigilance. Il nous faut tout de même être prudents, nous allons finir par nous empoisonner sinon… Notre moral est au plus bas…
Nous nous lavons, une fois, deux fois…
Nous recevons un mail (via la site web) d’un homme que nous avons rencontré lors de l’arrêt à un feu. Il était en trottinette et avait engagé la conversation avec Maman. Comment nous a-t-il retrouvé ? Il nous propose de passer la journée de dimanche dans sa maison en dehors de Buenos Aires. Les enfants pourraient profiter de la piscine et les parents se reposer. C’est vraiment tentant mais nous pensons que nous n’aurons malheureusement pas le temps…
Nous dînons et allons nous coucher (à 4 dans le grand lit)… Demain est un autre jour.