01 mars 20 – Buenos Aires – J333
La nuit a été meilleure. Plus de puce à l’horizon, pas de nouveau bouton (mais toujours paranos, qu’est-ce que cela nous démange). Nous nous levons un peu plus tôt et déjeunons. Nous sommes décidés à profiter de cette journée.
Nous préparons les sacs contenant le reste de nos affaires. Nous faisons le tri et jetons pas mal de choses : boîte cassée, vêtements complètement déchirés des enfants, reste de nourriture… Au final, nous sommes rapides et prêts à partir se balader un peu après 11h00 !
Nous passons acheter des empañadas pour le repas et filons les manger au parc. Martin et Lucas profitent un nouvelle fois des jeux.
Demain notre chauffeur veut passer nous prendre à 07h30. Mais cela met Marta hors d’elle, elle refuse de se lever si tôt ou alors, il nous faudra payer (elle est gonflée tout de même). Nous négocions donc 08h30 avec Osvaldo, cela apaise Marta et nous pourrons dormir une heure de plus.
Ça de réglé, nous montons dans la tour vue la veille et profitons de la vue.
Nous sommes en contact avec les italiens et décidons d’aller les rejoindre. Le rendez-vous est un peu loin. Nous décidons de nous y rendre en métro mais il faut pour cela acheter une carte de transport qui n’est pas disponible actuellement ! Pratique… Tant pis, nous y allons en taxi.
Nous arrivons avant eux et faisons un petit tour. Nous allons faire un tour à la maison de la culture et au cimetière à côté. Un passage aux jeux et nous attendons nos amis en regardant un artiste faire un dessin sur le sol.
Enfin les voilà ! Un petit goûter et nous allons faire tous ensemble les caches du coin. Un groupe joue de la musique, sympa à écouter.
Il est déjà l’heure de se séparer mais nous les reverrons en Europe ! Nous rentrons en taxi et nous faisons déposer sur l’avenue 9 de julio. Elle est gigantesque !
Nous galérons pour acheter de la nourriture pour ce soir. La machine à CB est en panne au supermarché et nous gardons notre liquide pour payer la voiture demain. Nous devons aller dans une autre mais qui n’a pas grand chose. Tant pis, Papa ressortira acheter des pizzas.
Nous dînons et ne traînons pas pour aller nous coucher, demain le réveil sonne tôt !