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24 février 20 – De Piriápolis à Neptunia – 70 km (10216 km) – J327

Aujourd’hui, nous avons une grosse journée de prévue. Nous voulons rejoindre la maison d’une warmshower à Neptunia. Du coup, nous nous levons assez tôt. Pour ne pas trop traîner, Maman part faire les courses pour le repas de ce midi pendant que Papa range.

Nous roulons sur le bas côté de la route. Il est assez large, comme d’habitude. Nous croisons un cycliste qui habite à Montevideo et qui a une résidence secondaire à Piriápolis. Il nous propose de venir y passer la nuit mais nous en venons. Dommage que nous ne l’ayons pas rencontré plus tôt…

Nous continuons d’avancer avec un petit vent de face qui nous rafraîchit. Nous passons un péage, ici c’est gratuit pour les motos. Les voitures roulent un peu plus vite mais encore une fois, le bas-côté est bien large, nous ne nous sentons pas en danger.

Nous faisons la pause déjeuner dans un abri-bus (nous n’innovons pas sur ce coup-là). Puis nous continuons sur l’autoroute. Pour être honnêtes, ce n’est pas intéressant et en plus, il fait chaud. Mais nous n’avons pas trop le choix, il n’y a pas vraiment d’autre route. A chaque fois, pour voir la plage, il faut faire des détours sous forme d’aller-retour.

Petite pause à l’ombre puis nous avançons toujours. Voilà que la route est interdite aux cyclistes. Nous décidons de fermer les yeux et de continuer quand même.

Nous arrivons enfin à Neptunia. Nous mangeons des glaces à la station-service puis décidons d’aller faire un tour à la plage. Ça nous rajoute quelques bornes, mais il fait chaud et beau. Ça en vaut la peine !

Ici, ce n’est plus l’océan mais le rio de la Plata. L’eau est marron, elle ne fait pas trop envie à la voir comme ça… Mais nous y allons quand même. Il y a quelques belles vagues mais nous ne lâchons pas les enfants car nous ne les voyons pas sous l’eau. Comme à chaque fois, ils enchaînent avec des jeux dans le sable.

Il est déjà 18h00. Nous repartons pour les 5 derniers kilomètres. Nous arrivons dans un quartier bizarre, caché dans les bois. Nous ne savons pas si nous pourrions appeler ça un bidon-ville car ce sont des maisons sur des terrains séparés mais ça y ressemble. Lucia nous trouve sur le chemin, elle vit ici depuis 3 mois, apparemment séparée de son mari.

La maison n’inspire pas Maman, elle préfère camper dans le jardin. Les enfants de Lucia arrivent, accompagnés de leur père, Lucia part. Une autre femme vit aussi ici avec son petit, elle a une tente de l’autre côté du jardin. Martin et Lucas s’amusent beaucoup avec les autres enfants. Les parents sont nazes et décident, une fois n’est pas coutume, d’aller se coucher sans dîner. Martin veut rester jouer mais finira par venir rejoindre le reste de la famille dans la tente.

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