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14 février 20 – De Buenos Aires à La Coronilla – 6 km (9855 km) – 53 km en bateau – 495 km en bus – J317

Le réveil est très difficile ce matin mais il nous faut nous dépêcher. Les parents prennent le petit-déjeuner et laissent les enfants dormir le plus longtemps possible. Papa va chercher les vélos, Maman range les affaires et commence le ménage (rapide). Tout est vite prêt, nous sommes efficaces. Nous levons les enfants tant bien que mal. Nous chargeons les vélos. La fermeture du gros sac jaune décide de faire des siennes, forcément, à un autre moment, ça n’aurait pas été drôle… Mais nous réussissons a nous mettre en route dans les temps (sans oublier de poser les clés dans la boite aux lettres). Nous suivons la piste cyclable de notre petite rue, ça nous permet d’être tranquilles et de ne pas trop affronter la circulation. nous arrivons au ferry a l’heure, faisons le check-in et buvons un café.

Nous passons la douane avec nos vélos, les bagages sont reniflés par un chien, le douanier blague avec nous. Nous passons ensuite au bureau pour avoir notre tampon de sortie d’Argentine et notre tampon d’entrée en Uruguay. Ça va vite ! Même pas encore monté sur le bateau que nous sommes déjà en Uruguay… Nous n’attendons d’ailleurs pas très longtemps pour pouvoir embarquer. Le bateau part à l’heure. Sorti du port, il accélère, nous ne mettons pas longtemps pour traverser le rio et arrivons a Colonia.

Ici, nous passons la douane et toutes nos sacoches passent au scanner. Toutes ? Non ! Nous réussissons à laisser de côté les sacoches situées dans le cadre du porte-bagages avant. Elles sont pénibles à défaire… Tout se passe comme sur des roulettes, il va maintenant falloir mettre les vélos dans le bus. Le chauffeur les regarde un moment puis fait de la place dans la soute, ça rentre sans aucun problème ! Nous voila partis pour Montevideo !

Le trajet dure tout de même 3 heures. Nous ne sommes pas les uns à côté des autres mais faisons avec, ça ne semble pas gêner les enfants. De toute façon,assez rapidement, nous nous endormons tous !

Il est 15h00 quand nous arrivons à Montevideo. Nous voulons enchaîner directement pour La Coronilla. Papa part à la recherche d’un bus. Maman se fait réprimander car il est interdit de rentrer avec un véhicule dans la gare routière. Elle explique que Papa est allé acheter des tickets et que nous allons ressortir. Mieux vaut mettre de suite les vélos dehors sur les quais, alors nous nous exécutons au retour de Papa. Nous avons une réservation gratuite dans un bus a 16h15. Il nous faut voir avec le chauffeur directement pour savoir s’il veut bien prendre les vélos. Le bus en question arrive, le chauffeur charge d’abord les bagages des autres passagers puis l’encomienda. Le tout sans faire vraiment d’effort d’optimisation. Forcément, les vélos ne vont pas rentrer… Tant pis. Il nous oriente vers une autre compagnie qui a des soutes plus grandes.

Nous retournons donc au guichet. Nous achetons 4 billets et payons (pas bien cher) pour 2 vélos. Nous prendrons le bus a 18h15 et arriverons a 22h30, en pleine nuit ici. Il nous faudra trouver un bivouac dans la foulée ! L’aventure, c’est l’aventure !

En attendant, nous allons chercher de quoi manger pour tout de suite et pour ce soir. Le temps passe assez vite et nous allons attendre le bus. Il faut savoir qu’ici, les bus c’est un peu comme les trains. Il n’y a pas un bus d’une compagnie dans une direction mais potentiellement 5 ou 6 bus de la même compagnie partant simultanément (comme s’il y avait plusieurs wagons) ! C’est ainsi que nous attendons le bus 5 de Rutas del sol partant à 18h30 pour Chuy.

D’ailleurs, le voila. Nous chargeons les vélos et les sacoches et allons nous asseoir. C’est parti ! Comme dans le bus précédent, pas de film, pas de musique, c’est calme. Rapidement, nous prenons notre dîner et tentons de dormir. Martin s’endort mais Lucas ne fait que parler… Pas évident pour les parents qui ne souhaitent que fermer les yeux. Pour couronner le tout, le bus a finalement une heure de retard, la sortie de Montevideo était bien engorgée…

C’est donc a 23h30 que nous arrivons à destination. il fait très chaud et humide. Nous rechargeons les vélos, constatons que nous avons laissé le bâton de bambou à la douane ou sur le quai du premier bus. Les enfants sont crevés, les parents aussi… Nous rêvons tous d’aller dormir…

Nous allons vers un coin avec des tables de pique-nique, ce sera parfait. Nous montons la tente dans le noir et terminons a 00h50. Un nouveau record ! Mais nous ne ferions pas ça tous les jours…

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